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Menhir de la Tiemblais à Saint-Samson-sur-Rance
Le Menhir de la Tiemblais à Saint-Sansom-sur-Rance est désigné comme la « Pierre longue » aux XVIe et XVIIe siècle, puis comme la « Pierre de Saint Samson » ou la « Pierre de la Tomberai ». Ce Menhir draine une importante tradition légendaire.
Saint Samson aurait ainsi séjourné près du menhir, en butte aux tentations du diable. Devant l’échec des manœuvres de ce dernier, celui-ci aurait lancé, de dépit, son fouet sur le menhir, qui s’en trouve marqué, comme en témoigne un filament de quartz affleurant à la surface du mégalithe.
Une autre légende rapporte que le menhir est l’une des trois « bondes » bouchant l’entrée de l’enfer, ou encore qu’il empêche la mer jaillir par le trou qu’il obstrue, évitant ainsi un nouveau déluge.
Il est également appelé « roche à érusser » : Comme de nombreux sites en Côtes d’Armor, la jeune fille qui réussissait à y glisser « en culotte de baptême » sans trop s’écorcher était certaine de se marier dans l’année.
Mais l’originalité objective réside dans ses dimensions et sa morphologie : 8 mètres de haut et 7.5m de diamètre. Elles révèlent qu’il a été retouché en différents endroits pour que soit obtenue cette forme particulière, de même que son inclinaison peut avoir été délibérée et non accidentelle.
A consulter aussi l'article de votre quotidien régional :
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Le 4 août 1784 le droit de colombier est aboli, avec les autres privilèges.
A la suite de quoi cet élevage connut une grande vogue.
Si on en juge par la densité de l'habitat prévu pour les pigeons, il y en avait au 19e siècle un grand nombre dans presque tous les villages.
Leur disposition en façade et le soin apporté à leur décoration sont le signe du rang social du propriétaire, du début du 19e siècle et le souvenir des anciens privilèges qui y étaient attachés. Les trous à pigeons sont donc très nombreux dans la commune de Plouër.
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Première randonnée de l'année à Calorguen. Les paysages sont magnifiques avec le givre et le soleil réunis.
Cette jolie ballade est jalonnée de jolies sculptures
Laëtitia Lavieville, artiste en ferronnerie d’art, travaille le métal à Boutron maison éclusière de Calorguen et réalise des sculptures souples et féminines, malgré la dureté du matériau.Et la dernière : les randonneurs étaient aussi givrés que le décor ....
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Un évènement en partenariat avec le ministère des Sports et Jeux Olympiques et Paralympiques, le ministère de la Culture et l’Agence Nationale pour le Sport. La FFRandonnée met les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 à l'honneur
Labellisée Terre de Jeux 2024, la Fédération française de la randonnée pédestre a souhaité s'impliquer pleinement dans les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 en organisant, du 13 janvier au 12 mai 2024, la Grande Randonnée vers Paris, avec la volonté d'en faire un événement national, participatif, créatif, solidaire et éco-responsable.
Initiative nationale portée par la FFRandonnée et placée sous le Patronage de la Commission Nationale Française pour l'Unesco, la Grande Randonnée vers Paris se déroulera, entre le 13 mars et le 6 avril 2024, en région Bretagne, et proposera des randonnées itinérantes ouvertes à toutes et tous, en totale autonomie et diverses animations.
Pour plus d'information :
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Le site de la Souhaitier a toujours été le lieu de rassemblement des familles de marins de la paroisse. En effet, la majorité des hommes de Plouër étaient embarqués sur les vaisseaux et frégates du roi, sur les navires marchands et sur les goélettes de Terre-Neuve.
Avant les départs, les marins venaient implorer la protection de la Vierge. Lors des retours, ils lui exprimaient leur reconnaissance.
Les fêtes du 31 mai, clôture du mois de Marie, du 15 Août, l’assomption et du 3è Dimanche d’octobre, le Rosaire, donnaient lieu à des processions.
Chaque année, la petite chapelle accueille une procession aux flambeaux avec bannières le soir du 14 août, et une messe solennelle pour l'Assomption le lendemain. À cette occasion, les fidèles renouent aussi parfois avec la tradition du pardon de la Souhaitier et viennent faire bénir leur bateau.
Une réplique de la grotte de Lourdes est située à côté.
La première chapelle date au moins du début du 17ème siècle, elle était dédiée à la Vierge Marie. Des écrits de 1650 la décrivent, elle était alors en mauvais état.Rebâtie en 1664, elle tombe à nouveau en ruines après la Révolution. Les murs, menaçant de s'écrouler, un habitant de Plouër acheta un champ tout proche puis en fit don afin qu'une nouvelle chapelle soit érigée. La première pierre du nouvel édifice fut posée en décembre 1868. La population s'empressa d'aider à sa construction pour la rendre moins coûteuse.
Avant la Révolution, la chapelle était desservie par un prêtre de la paroisse, et c'est au pied de son autel que les marins ou leurs proches, venaient demander le succès de leurs périples en mer à Notre-Dame des Souhaits. À cette époque, les fidèles venaient en grand nombre à l'occasion de processions.
En creusant les fondations, les ouvriers trouvèrent une grande quantité d'ossements humains. Tout le terre-plein de l'enclos actuel en est encore rempli. En effet entre 1582 et 1586, Plouër connut une grande épidémie. L'église et le cimetière ne suffisant plus aux inhumations, on enterra partout, notamment autour de Notre-Dame de la Souhaitier.En 1868, Mgr David, évêque de Saint-Brieuc, vint bénir la nouvelle chapelle. D'après les écrits retrouvés, « la procession n'avait pas moins d'un kilomètre de long. Derrière la croix paroissiale, se déroulaient au vent les 80 drapeaux des villages, suivis de 200 oriflammes ».
De même que la chapelle toute entière a été financée grâce à la générosité de la population, tout l'intérieur provient de dons ou d'offrandes. La cloche est tout ce qui reste de l'ancienne chapelle et sur le mouton se lit la date de 1400.
Le mur de clôture de la chapelle remploie un vestige de l'ancienne chapelle ornée d'une inscription : M. P . THOR . DE. PLO signifiant Maître Pierre Thoreau recteur de Plouêr
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Exhibant la faucille, il détache les branches du gui et les laisse tomber en prononçant " Oh Géhl an Heû" (qui signifie en fait " le blé lève " et se rapporte à la prospérité de l'année à venir).Les touffes de gui sont recueillis dans un linge blanc, tenus aux 4 coins par 4 jeunes druides au pieds de l'arbre.Le gui ne peut toucher le sol car il perdrait toute sa force magnétique.Des feuilles sont alors sélectionnées et déposées dans la cupule d'une pierre (une Table des Fées").On y verse de l'eau de source chaude (mais surtout pas bouillante).
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Lydia et Dominique communiquent : " tableau de ramassage de quelques espèces à l'occasion de la sortie du 05 décembre dernier, dont 1 petite lépiote probablement très toxique (2ème en bas) "
Pour agrandir : cliquez sur l'image
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Lydia et Dominique communiquent :
" A l'occasion de la dernière rando, les champignons ont été un sujet de discussion partagé avec quelques personnes du groupe dont Monique.J'ai parlé en particulier de la jeune association APPIC (Association pour la Promotion des Pédagogies Innovantes pour les Champignons (APPIC) située à Calorguen et présidée par Dimitri Bacro.
Il propose une sortie partagée le samedi matin, et une télé formation de 1 heure, 2 lundis soir par mois pour une adhésion très modeste de 10 euros.
Cette association peut intéresser toutes les personnes curieuses de la biodiversité insoupçonnée du monde des champignons, au sein d'un petit groupe, avec une approche très pédagogique.
Son contact : dimitri.bacro@gmail.com
Nous pouvons découvrir Dimitri à l'œuvre lors de l'une de ces sorties en forêt de Brocéliande en cliquant sur le champignon :
De quoi donner envie même aux mycophobes ! "
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Vaste plan d’eau de 153 ha, l’étang de Boulet et ses abords contrastent avec le paysage cultivé environnant. Ces eaux stagnantes favorisent une végétation variée : du bois à la lande humide, ce sont chênes, châtaigniers, pins sylvestres…puis bouleaux, saules, bruyères et sphaignes, nénuphars et même des espèces carnivores qui ceinturent l’étang selon l’humidité du sol.
Liées à cette richesse végétale, la faune et plus particulièrement les oiseaux y sont nombreux à se reproduire, nicher ou simplement passer : colverts, foulques, sarcelles, bergeronnettes, faucons et autres espèces plus ou moins rares s’y rencontrent fréquemment.
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C'est un moment important de notre vie associative où vous pourrez vous exprimer en votant pour le rapport moral et financier de l'association, en votant aussi pour le renouvellement du tiers sortant
Vous avez reçu un mail très détaillé concernant ce très riche événement
Comme les années précédentes nous terminerons cette assemblée générale par un pot de l'amitié accompagné de pâtisseries sucrées ou salées que vous aurez eu la gentillesse d'apporter.
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Alors là, les bretons sont touchés :Tempête Ciaran : le hêtre de Ponthus, arbre légendaire de la forêt de Brocéliande, n’a pas survécuCet arbre célèbre était ancré dans le sol de la forêt de Brocéliande depuis plus de 300 ans. Il a été déraciné lors du passage de la tempête Ciaran.C’était un des arbres les plus célèbres de Bretagne. Avec ses branches tentaculaires et son feuillage mousseux, ce hêtre de Ponthus faisait partie du paysage de la forêt de Paimpont, aussi appelée Brocéliande, depuis plus de 300 ans, et était même, selon la légende arthurienne, le gardien des ruines du château de Ponthus.La tempête Ciaran aura eu raison de lui, dans la nuit du 1er au le 2 novembre 2023. L’arbre emblématique a été déraciné par les rafales violentes de vent, dont certaines enregistrées à 112 km/h dans le département.
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Samain, ou Samhain, est la fête irlandaise aux origines celtes qui célèbre le passage de la saison estivale claire à la sombre saison de l’hiver. Dans une société qui vit au rythme des moissons, on est bien loin de notre actuel Halloween passé à la moulinette de la culture pop américaine ! En quoi cette fête décrétée comme celtique est-elle à l’origine d’un des évènements les plus commerciaux de nos cultures occidentales ?
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Ce circuit relie la plage du Prieuré à la plage du Port-Blanc par des chemins de campagne et des ruelles pour rejoindre le sentier côtier à la découverte de magnifiques panoramas sur la côte.
Thomas Edward Lawrence, dit Lawrence d'Arabie (1888-1935), célèbre colonel anglais, est connu pour son engagement dans la grande révolte arabe entre 1916 et 1918. Il habita Dinard dans sa petite enfance de 1891 à 1894. Il y revient plusieurs fois entre 1906 et 1910 pour des séjours pendant lesquels il sillonne toute la région sur son vélo de course.
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Dominique partage ces magnifiques images et ses connaissances :
Voici 2 espèces observées lors de notre dernière rando à Plouer faisant partie de notre patrimoine naturel.
La Molène noire et la Valériane rouge ou Centranthe rougeLa Molène noire a des propriétés adoucissantes et pectorales. Une infusion de feuilles séchées peut calmer la toux ou la bronchite ainsi que les irritations de la gorge.
Elle est proche de la Molène Bouillon blanc qui est la plus connue en herboristerie. Elle s'en distingue par la couleur des poils des étamines, violet pour la Molène noire, blanc jaunâtres pour le Bouillon Blanc.On la trouve sur les terres incultes et bord de chemin.
On la trouve sur les vieux murs, les talus pierreux, les rocailles et rochers.
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Monique communique : " Notre équipe de randonneurs qui a nettoyé avec efficacité le chemin communal qui permet d'accéder à la Rance en partant du petit Plumazon. Merci à eux "
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Monique commente : " Aujourd'hui nous randonnions à Plougrescant, très belle randonnée au soleil. Nous avons terminé par la chapelle Saint Gonery, avec son clocher penché et son magnifique plafond peint."
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Les Laveuses d'Huitres à Cancale sont parées de Rose pour marquer le Lancement D'Octobre Rose .
Vous voulez en savoir plus sur cette magnifique sculpture emblématique:
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Un nouvel adhérent, Dominique Degroote botaniste souhaite partager ses connaissances des plantes et insectes qu'il photographie durant les randonnées.
Je vous propose ci-dessous un premier aperçu de ces jolies découvertes.
Merci beaucoup à Dominique pour ces beaux clichés et surtout les descriptions et explications .
Il serait très agréable de lire vos commentaires afin de connaitre votre intérêt pour la faune et la flore de notre région.
Merci à tous . votre blogueuse Viviane
Dominique apporte quelques informations complémentaires à la Piéride de l'Ibéride : "La Piéride de l'Ibéride. Ce papillon très proche de la piéride du chou se cantonnait au sud de l'Europe et en particulier la partie SE de la France. Aujourd'hui il et en train de conquérir rapidement le Nord de la France et ce serait l'une des premières observations récentes en Bretagne. Sa chenille se nourrit de la fausse roquette."
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Chemin creux
Un chemin creux ou chemin de service sur le cadastre est un chemin dans le langage courant ou sentier situé entre deux talus en général plantés d'arbres formant des haies.
C'était la voie traditionnelle de circulation dans les paysages de bocage. Ils relient les parcelles agricoles aux villages, hameaux et fermes.
Ils ont joué un rôle de protection pour les chouans et pour les soldats et la population lors de la Seconde Guerre mondiale.
Talus
Ils sont constitués de pierres grossièrement appareillées ou de mottes de terre empilées par les paysans au cours du temps. Ils jouent un rôle agronomique essentiel dans un territoire de type bocager (conservation de l'eau et de la matière organique) et supportent une strate buissonnante et arborée importante. Là où ils ont été conservés, moins fragmentant que les routes, ils augmentent la biodiversité locale et jouent un rôle de corridor biologique et même de réseau écologique permettant la survie de nombreuses espèces.
La morphologie en creux résulte de l'élévation par l'Homme de deux talus sur les côtés. Le substrat du talus pouvant parfois provenir d'un fossé le longeant. Le creux peut aussi avoir été accentué par l'érosion sur les chemins en pente. Cet enfoncement relatif ou réel par rapport au niveau moyen du sol rend en tous cas le chemin ombragé, frais, voire humide. En hiver, le double talus arboré protège le chemin contre les congères.
Entretien
Sur pente, l'érosion tend à creuser les chemins
Ces chemins souvent étroits (largeur d'un char, d'un tombereau) sont entretenus par le passage du bétail et, autrefois, de manière communautaire par la population paysanne. En France, aujourd'hui, ce sont les communes qui en ont la charge d'entretien. Elles assurent cette charge si un agriculteur en fait la demande ou si elles souhaitent proposer un itinéraire de randonnée aux estivants
Vous êtes curieux et voulez en savoir plus :
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Monique et Sylvie nous offrent quelques clichés de cette randonnée à laquelle participaient de nouveaux amis : Lydia, Dominique, Yasmine, Yannick, Hervé. Bienvenue à eux
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Sylvie communique : " nous étions 26 ce matin pour notre randonnée à Pleudihen. Nous avons suivi la Rance à partir de la cale de Mordreuc. C'était bien agréable. "
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Monique communique : " journée bien sympathique où 62 participants se sont retrouvés dans la bonne humeur. Merci à tous ceux qui ont aidé à la réussite de ce barbecue."
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